Kimerlude, seigneur des glaces.

Chapitre I : Une vie misérable.

Né d'une mère morte à ma naissance, mon père m'abandonna peut de temps après pour partir faire la guerre aux démons du chaos. Toute mon enfance je suis passé d'orphelinat à orphelinat, on me traité comme un chien qui s'occupait des corvées. Plus tard on me mit à la porte. Je n'avais aucunes raisons de vivre, mais pourtant un jour où je mourrai de faim dans la ville où la neige tombé sans arrêt, un homme assez âgé vint vers moi et me donna une miche de pain que je dévora en un instant, il sourit et me dit " Tu ne vas quand même pas dormir là petit ? " je lui répondu que je n'avais nul part où allais et que j'attendais que la mort vienne me chercher. Il m'invita alors à dormir dans une auberge pour que je mange et que je puisse enfin me reposer dans un vrai lit ! Je mangea à m'en faire pété la pense, c'était si bon de pouvoir enfin manger quelque chose qui n'était pas moisi ! Une fois le repas terminé j'allais me coucher dans ma chambre, je pouvais enfin fermé mes deux yeux car dans la rue il faut s'attendre à tout. Le lendemain après avoir prit le petit déjeuner nous partîmes sur les routes, sans savoir exactement où nous allons, l'homme qui était avec moi avait les cheveux longs et bruns, une petite barbe accompagné d'une moustache sur son visage fatigué, il ne possédait pas grand chose sur lui : une petite sacoche avec quelques sous à l'intérieur et ses habits.
Pour gagner sa vie il montrait ses tours de magie aux passants qui lui donnaient quelques sous, je l'aidais donc à faire son travail pour payer la nourriture et le logis. J'étais heureux avec lui, je le considéré comme mon père que je n'avais jamais eu, j'avais enfin trouver un sens à ma vie.
Un jour dans les terres du nord nous sortîmes d'une taverne tôt le matin pour partir dans une autre ville faire nos tours de magies, c'est là que 3 bandits nous barrèrent la route. Ils voulaient notre or évidement, alors "Le brun" comme je l'appelais, donna tout l'or qu'il possédé sur lui, mais ce n'était pas suffisant pour les bandits qui croyaient que l'on en avait plus sur nous. L'un d'entres-eux fonça sur Le brun et le poignarda d'un coup de couteau puis les bandits partirent dans les champs. Je me blottis contre Le brun qui agonisé de souffrance, je ne pouvais rien faire je pleurais toutes les larmes de mon corps, puis quelque secondes avant de mourir il me chuchota dans l'oreille " Vie mon garçon, vie et ne t'arrête pas de vivre ! Vie pour te venger de la vie que l'on t'a donné... je t'ai toujours considéré comme mon fils... mais maintenant je m'en vais rejoindre mes ancêtres qui m'attendent là haut, on se reverra un jours tu sais ? mais pas maintenant, oh non pas maintenant !...arg..." je m'apitoyais sur mon sort et pleurais toutes les larmes de me corps, je ne cessé de crier " POURQUOI ?! POURQUOI ?!..." que faire ? où aller à présent ? je restais blottis contre le corps du brun pendant quelques jours.
Jusqu'à ce que je décidais de partir, partir pour me venger des assassins ! Soudain une haine m'envahis, une rage folle ! Il me fallait tuer ces bandits jusqu'au dernier ! Je n'avais pas manger depuis 3 jours mais j'y étais habitué, la rue m'avait rendue plus fort ! j'étais à leur poursuite, mais qu'est-ce qu'un gamin de 10ans pouvait-il faire contre 3 gros durs armés de couteaux ? Soudain je les vis en trin de voler un vielle homme, la rage s'empara de moi, je fonça droit sur eux mais je me fi expulsé en un quart de seconde, j'étais à bout de force, je ne pouvais plus bouger le moindre petit doigt. Soudain j'entendis une voie dans ma tête, une voie masculine très puissante, elle disait :
-Petit veux tu vivre ? Veux tu pouvoir te venger et tuer ses hommes ?
-OUI ! PLUS QUE TOUT AU MONDE ! lui criais-je à voie haute.
-Alors je vais faire de toi un démon, et tu aura une puissance que tu n'imagines même pas en rêve.


Chapitre II : Le démon.

Soudain je senti une force énorme ! un démon s'emparait de moi ! Je me sentais capable de tué n'importe qui, j'avais envie de tué, voir le sang coulé sur le sol, voir ces visages terrorisés par la peur !
Je me leva et regarda ces bandits d'un regarde haineux rempli de rage je serrais les dents, puis j'arrachai les membres de ces monstres un à un sans qu'ils n'eurent le temps de comprendre ce qui se passé , ils hurlaient de douleur, le sang giclé de toute part. Une fois leurs membres arrachaient j'écrasais leur tête puante, je puis entendre le craquement des os qui explosaient, leur cervelle était éparpillé un peu partout sur le sol, et mes pieds étaient couvert de sang ainsi que mes bras. Je poussé un rire démoniaque " Aahahahahaha... !! ces minables sont enfin mort !!".
J'étais devenu un véritable démon, moi qui pourtant les détesté j'en étais devenus un par la faute de ces assassins, je n'avais que 10ans et pourtant j'étais bien plus démoniaque et puissant qu'un adulte des plus terrible et je venais de tué. Je me sentais fort ! Mais la voix de tout à l'heure revint :
-Alors ? tu aimes ta nouvelle vie ? Te sens-tu puissant ? Si je t'ai sauvé ce n'est pas parce que je suis bon, je vais avoir besoin de toi gamin, je te défie de me trouver, et si tu réussis tu aura encore plus de puissance et de pouvoir... mais par contre si tu échoues tu mourra dans d'atroce souffrance, te sens-tu capable de me retrouver ?
-Bien sûr que oui ! lui hurlais-je.
-Alors je t'attends sur mon trône de glace, mais ne sois pas trop long car si dans deux ans tu n'es pas là, alors tu mourra. Je t'attends...je t'attends...ahahahahahahaha.... la voix se tue.

Chapitre III : Bientôt le départ

Il me fallait alors reprendre la route et marchait en direction des terres du nord, je passais près d'une taverne, j'avais malheuresement très faim, je tuais alors tous ceux qui s'y trouvaient, homme et femme, sans pitié, aucuns survivants, je mangeais tout ce que je trouvais à porter de main et je pris quelques vivres pour la route, qui s'annonçait durement longue.
Mais avant il me fallait un équipement, je ne pouvais pas faire un long voyage sans arme et armure je pris donc quelques pièces d'or dans la caisse de la taverne et je partis à la rencontre d'un forgeron ou d'un marchand d'arme. Un villageois m'indiqua la route à prendre pour aller au forgeron le plus proche, quelques heures passèrent avant d'arrivé au village où l'homme se trouvait, j'entrais dans sa demaure, un viel homme était en train de faire une épée, une belle et longue épée, trop grande pour un enfant, trop lourde à porter. Mais avec la force que j'avais acquis je pouvais facilement la magniée, il me disait qu'elle serait bientôt terminé, alors pendant qu'il la finissé je me reposais sur son lit. Il m'appella lorsque l'épée était fini, je lui achetais aussi une armure et un heaume en acier, je lui eu donné tout l'or que je possèder, le vieux avait l'air très heureux de ce cadeau. Je passais la nuit dehors jusqu'à ce que le soleil se leva.

Chapitre IV : En route vers le trône de glace.

La suite bientôt, héhé.